Soirée compliquée [ pv Elysha]

Elle était réellement énervée, et semblait m'en vouloir. tout cela était logique je lui avais tout de même donner mon sang sans lui demander son avis. Je soupirais alors en l'entendant râler et la vit me rejoindre lorsque je marchais pour aller vers le pavillon de la Lune. doucement je la laissais marcher puis décidais alors de la porter pour aller plus vite. Arriver dans le bâtiment je montais alors directement dans le coin homme l'emmenant avec moi et la regardant une fois dans la chambre. Je savais qu'elle allait encore s'énerver mais je m'en fichais totalement. Je ne pensais même plus à mon bien mais à celui de l'académie. Je la posais alors en face de moi restant debout devant la porte puis la fermant. Je posais alors ma main sur sa tête et lui retirait alors la perruque assez facilement, une fois fait je me reculais alors d'elle et lui tendit sa robe préférée soupirant alors. Je pris ensuite des vêtements pour me changer laissant alors tomber la robe que je portais me retrouvant alors en caleçon devant la demoiselle. Je me dirigeais alors vers la salle de bain en lui disant froidement:

"Si tu veux venir viens, je fais couler un bain. Il n'y a aucune pensée la dessous. Je veux juste me détendre et te parler. Si tu décide de sortir de la chambre pour aller dans la tienne c'est bien dommage... J'accepterai ton choix mais je risque de mal le prendre.... En ce moment plus que jamais je n'ai pas envie d'être tolérant..."

Je soupirais alors franchissant la porte et me dirigeant alors directement vers le bain, je fis couler de l'eau et laissait alors de la mousse afin que si elle vienne elle puisse cacher ses formes comme bon lui semble. Je m'allongeais alors dans l'eau une fois déshabiller et soupirais de nouveau fermant les yeux et me fichant de si elle allait me rejoindre ou non. Je n'avais en ce moment pas que cela à penser. Mon amour pour elle n'étais pas à remettre en doute et encore moi ma franchise envers celle ci. Je pensais réellement que quelque chose allait arriver car je sentais cette tension au fond de moi revenir comme à cette époque fatidique où je me retrouva seul. J'espérais juste pouvoir compter sur elle et qu'elle me comprenne sans faire la petite fille égoiste.

Elle était en colère. Et c’était bien là gentiment exprimé. Furieuse, elle ne lâcha pas Kazuki du regard. Il avait beau faire comme si de rien n’était, elle ne rentrerait pas dans son jeu. Sa colère n’en était montée que d’un cran lorsqu’il les mena vers l’aile des hommes. Elle aurait préféré rejoindre sa chambre et ne plus le voir de la soirée.

Elle prit cependant la peine de rester calme, car oui, elle n’avait pas trop envie d’expliquer au directeur pourquoi elle avait détruit l’aile des hommes. Garder ses pouvoirs sous son contrôle n’était pas son point fort, mais quand elle était de mauvaise humeur, la chose ne fit qu’empirer. Ne lui posant pas encore de question, Elysha prit entre ses mains sa robe préférée. Ne se posant elle-même pas la question pour savoir comment elle avait bien pu finir ici. Pourtant lui vint à l’esprit de se dire que Kazuki avait prévu tout ceci. Et le calme en fût rapidement oublié quand il lui adressa la parole. Plissant les yeux, son regard en devint encore plus noir. Monsieur l’obligeait à boire son sang, la mettait en colère et s’attendait à ce qu’elle reste avec lui ?!

Décidée à ne pas rester et d’une humeur massacrante, elle ne remarqua même pas qu’il s’était retrouvé dévêtu devant elle. Et bien qu’elle ne l’avait pas lâché du regard, -du moins jusqu’à ce qu’il franchisse la porte de la salle de bain-, ses pensées étaient ailleurs. Dès qu’elle entendit l’eau couler, elle fit volteface et vint brutalement ouvrir la porte de chambre de Kazuki. S’apprêtant également à la refermer aussi bruyamment que possible. Pourtant, alors qu’elle passa le seuil, elle s’arrêta. Elle ne pouvait ignorer le pendentif à son cou. Ce qui lui fit penser que si la sœur de Kazuki avait encore été vivante, son fiancé n’aurait sans doute pas démontré la même patience. Sa sœur l’aurait déjà longtemps fait savoir qu’il devait donner un choix simple à Elysha et ne pas lui donner 1500 ans pour se décider.

Par respect pour la femme à capuche, elle retourna sur ses pas. Refermant alors la porte en silence, elle se contenta de lancer un bref regard vers l’autre porte se trouvant dans la chambre. Mais il était absolument hors de question qu’elle le rejoigne. Elle en avait peut-être envie, un tout petit peu. Mais elle était en colère et bornée, alors elle se refusait de lui pardonner ses actes de cette soirée comme si de rien n’était. Et heureusement, elle s’était douchée avant d’aller à la soirée, ce qui l’aida à se décider définitivement, elle n’irait pas le rejoindre. S’approchant d’une chaise se trouvant contre un des murs, elle se dévêtit de son costume. Diable, qu’elle détestait porter des pantalons. Enfilant sa longue robe d’un bleu azur, elle passa un court instant sa main dans ses cheveux pour les remettre en place. Sa robe étant à épaules dénudées, le pendentif que Kazuki venait de lui offrir était bien visible. Elle ne put s’empêcher de radoucir ses mœurs en regardant le bijou.

Elle prit le haut de son costume d’homme et l’enfila, même si le froid ne pouvait réellement l’atteindre elle aimait faire comme ci. La veste lui fit d’ailleurs penser à son propriétaire. Il faut dire qu’elle ne s’était pas cassé la tête pour se déguiser en homme. Et qu’elle n’avait pas non plus fait les boutiques. Certes, elle aurait pu demander à Kazuki, mais en ouvrant les portes de son immense garde-robe, la vampire était retombé sur ce costume. Qu’elle avait un jour acheté pour Ren quand ce dernier lui avait dit qu’il n’aimait vraiment pas s’accoutrer de la sorte. Ce n’était qu’une pensée furtive qui ne dura que quelques secondes, cependant, ce furent quelques secondes de trop. Sa mauvaise humeur disparue rapidement, laissant place à une touche de mélancolie. Elle ne sait pas où ils en seraient arrivés s’ils ne s’étaient pas perdu de vue, mais elle savait qu’elle se l’était souvent demandée. Ayant coupé tout contact avec le jeune homme, elle ne savait même pas où il était ou comment il se portait.

Soupirant, Elysha se dirigea vers le lit et s’allongea sur ce dernier, serrant dans ses bras un des cousins. Elle finit par fermer les yeux, ne comptant pourtant pas s’endormir.

« La prochaine fois que tu me fais un coup pareille, je te jure que je te ferais une scène de ménage mémorable. »

Bien que dans deux pièces différentes, ils n’étaient pas assez éloignés pour ne pas s’entendre parler. Alors quitte à ce qu’ils se détentent chacun de leurs côtés, ils pouvaient encore discuter.

Je l'avais réellement fâchée. Je le savais mais je voulais qu'elle sache tout ce qui c'était passé dans ma vie ne lui ayant rien cacher. Ne voulant rien lui cacher. C'était réellement elle que je voulais mais je n'avais pas d'autre choix que d'attendre même si cela me rendais fou. Je me détendais tranquillement dans l'eau repensant à Mariko, me demandant ce que j'aurais pu devenir en me mettant avec une femme de cette trempe. Elle n'avais réellement rien à envier à Elysha et possédait un caractère largement supérieur à cette dernière. Je ne regrettais pas réellement de ne pas lui avoir dis tout ce que je pensais d'elle car j'avais pu connaitre Elysha. Bien qu'elle se montre moins tendre et parfois enfantine, j'en étais réellement tombé amoureux. Je décidais alors de répondre à sa phrase par tout autre chose:

"Cette femme de mon passé, je ne regrette pas de ne pas être allé avec elle. Grâce à cela tu es dans ma vie et je continue à suivre les idéaux de ma soeur. De plus, je me dois maintenant de vous protéger... Je dois également protéger Gabriel... Je le considère comme mon neveu, mais surtout comme un ami... Je ne sais pas ce que tu penses de moi maintenant, j'ai fait des choses dont je ne suis pas réellement fier. Mais je l'ai toujours fait dans un seul but... celui de m'entendre avec ces humains..."

Je soupirais alors doucement, me relevant de mon bain, prenant juste la peine de mettre une serviette autour de ma taille avant de revenir dans la chambre. J'étais surpris de la voir dans une telle position. Je m'approchais alors lui soufflant sur le visage doucement, je lui caressais alors la joue et m'écartais de nouveau allant enfiler un caleçon pour ne pas être nu face à elle. Je m'asseyais alors doucement sur le bord du lit et ajoutais:

"J'aimerai que nous soyons un vrai couple... Je n'en ai pas l'impression depuis un moment, surtout que l'attente me rend de plus en plus fou... Même si tu me donne une réponse dans l'année, je ne pense pas que de mon coté j'accepterai car je ne saurais dire si tu es sincère... Lorsque l'on aime on Hésites pas..."

Je soupirais alors doucement regardant dehors d'un air mélancolique et inquiet... Je savais que ce que je venais de dire allait certainement la mettre en rogne... Mais c'était dit.

Les informations qu’elle avait appris ce soir étaient nombreuses, étranges, lointaines, sanglantes et tout aussi familière. Voir tant de chose par le simple biais du sang semblait anodin. Mais ce n’était en tout cas pas quelque chose qui pouvait simplement être raconté. Quand on voyait les souvenirs d’un être en buvant son sang, on voyait des milliers d’images défiler dans son esprit. Tout allait tellement qu’il était impossible de comprendre qu’en les voyants. Sauf qu’avec le sang, on ne voyait pas seulement les images. On les vivait. Elysha n’avait jamais aimé cela. Certes, sa curiosité en était radicalement calmée. Mais vivre les souvenir d’un être était les vivre soi-même, ne fusse que pour un court instant. Ressentir les douleurs, les joies, les malheurs et les sentiments d’autrui comme si c’était les sien. Sa colère lui avait empêché un instant de suivre ce processus de pensées. Mais maintenant, elle s’était apaisée et elle voyait, entendait et ressentait tout ce dont elle pouvait se rappeler.

Pourtant, elle pouvait mieux comprendre Kazuki de la sorte. Et en fin de compte, c’est tout ce qui était important. Elle se sentait mal pour tout ce qu’il avait subi. Les vérités troublantes, les mensonges éternels. Sa vie était un parcours remplis d’obstacle et elle n’appréciait pas une seconde qu’il ait subit tout cela. L’écoutant parler, elle se concentra plus sur sa voix que sur ses mots. Elle avait vu cette autre femme, cette autre sang pure. Son visage, sa façon d’être et chaque parole qu’elle avait un jour adressé à Kazuki. Ne fusse qu’en y repensant, elle eut le sentiment qu’une main s’était renfermé sur son cœur pour le serrer douloureusement. Le cousin toujours serré contre sa poitrine et les yeux fermés, elle le sentit se rapprocher, profita de sa proximité et de son touché, avant qu’il ne s’éloigne à nouveau. C’est quand il se rassit au bord du lit sans s’approcher d’elle qu’elle fût étonnée. Encore plus par ses paroles.

Il avait subi tant de choses qu’elle ne pourrait jamais subir elle-même. Des souffrances atroces que personne ne devrait ressentir. Il avait perdu tout son clan, sa famille, sa sœur. Et la voilà alors, elle, une sang pure ayant vécu un nombre d’années ridicule à côté de lui, jouant l’enfant indécise. Elle ne rendait pas ce parcours d’obstacles que constituait son chemin de vie plus facile. Non, elle ne faisait que le rendre plus difficile. Elle finit par ouvrir les yeux et le regarda, sans rien dire. Et comment ne pas devenir fou à force d’avoir une telle patience ? Elle n’aurait jamais attendu 1500 ans. Bon sang, elle n’aurait jamais attendu un an. Elle eut une nouvelle fois le sentiment qu’on serrait son cœur, ça faisait mal, tellement mal. Il ne pouvait douter de ses sentiments. C’était une souffrance qu’elle ne souhaitait pas connaître. Et avant toute chose, la simple idée qu’il la rejette lui brisait le cœur. La souffrance qu’elle ressentait à cet instant n’était rien comparée à ce qu’il ressentait depuis tant d’années. Et elle en était la cause. Alors elle ne savait plus à ce moment précis ce qui fit le plus mal. Qu’il doute de ses sentiments ou qu’elle lui ai causé de la peine ?

Se redressant, elle s’assit sur le lit, ne quittant pas du regard Kazuki. Elle ne s’inquiet pas qu’il ne portait quasiment aucun vêtement. Il avait cette expression au visage, cette expression qui lui fit encore plus mal. Être partiellement la cause de sa souffrance lui était insupportable. Ce n’était pas de l’hésitation, c’était de l’enfantillage. Des caprices, des doutes ridicules.

« Je n’aurais pas dû.. » Inspirant une bonne fois, elle reprit d’une voix plus assurée mais néanmoins douce. « Je n’aurais pas dû te faire attendre aussi longtemps. Je n’aurais pas dû croire qu’avec l’éternité devant nous, j’avais le droit de te faire ainsi patienter pour une réponse à laquelle je n’ai jamais pensé, car je la connaissais déjà. Je t’ai fait du mal et j’en suis désolée. Sincèrement désolée. »

Enroulant ses bras autour de son cou, elle vint se blottir contre lui. Elle était sincère, elle savait ce qu’elle voulait et savait ce qu’elle ressentait. Il devrait d’ailleurs la détester pour l’avoir ainsi tourné en bourrique, car c’était bien là ce qu’elle avait fait, quoiqu’elle en dise et même si elle osait dire le contraire. S’écartant un peu de lui, elle prit son visage entre ses mains et le regarda droit dans les yeux. S’il ne la croyait pas, elle ne pourrait lui en vouloir.

« Je n’ai jamais aimé quelqu’un plus que toi. Je n’ai jamais eu de sentiments aussi profonds, aussi forts. Je t’ai besoin à mes côtés, je ne pourrais pas vivre sans toi. Je ne voudrais pas vivre sans toi. » Et pour la deuxième fois en l’espace de deux semaines, elle eut les larmes aux yeux. « Je t’aime. »

Elle s'excusait réellement, je soupirais alors en l'écoutant parler... ce n'est pas réellement cela que j'attendais de sa part. Sentant alors ses mains passer sur moi et surtout son corps venant se poser sur le mien, j'eux le réflexe de la prendre entre mes bras. Doucement je la regardais alors et la laissais faire ce qu'elle voulait. Lorsqu'elle répondit qu'elle m'aimait, je soupirais alors doucement et la prit alors doucement entre mes bras la plaquant contre mon torse et lui caressant doucement les cheveux. Je souriais alors tendrement avant de lui répondre doucement:

" Moi de même Elysha, je t'aime plus que tout... Je t'ai fait boire mon sang pour que tu comprennes... Mais j'aimerai également que tu te serves quand cela te dis maintenant, pour ma part je n'hésiterai pas à le faire..."

Je la regardais alors les yeux rouges mais surtout l'envie de l'embrasser et de lui faire comprendre que maintenant rien ne nous séparerais plus. Je la regardais alors et vint lui embrasser le cou descendant alors sur le reste de son corps. Je lui laissais quelques marques au passage profitant d'elle et lui montrant que je la voulais pour moi. Je m'arrêtais alors au niveau du haut de sa poitrine avant de lui dire doucement:

"Fais ce que tu veux, mais restes moi fidèle. Et surtout prends soin de toi, je ne veux pas qu'il t'arrive quoi que ce soit... sinon je ne me le pardonnerai jamais, tu comprends?"

J'avais toujours ce regard rouge sang et cette envie de lui faire ressentir qu'elle était mienne. J'écartais alors mes jambes et la plaça entre celles ci avant de venir lui caresser doucement la tête et la placer contre moi. J'ajoutais alors:

"dors ici cette nuit s'il te plait..."

Elle aurait tout à fait compris qu’il refuse de la croire. Après tout, ce serait là chose logique. Mais il ne fit nullement ça. Comme à son habitude, Kazuki était attentionné avec elle, doux. Une tendresse qu’elle avait toujours aimée et dont elle avait abusé. De ça et de l’amour qu’il lui porte. Elle s’en rendait très bien compte. Se maudissant alors d’avoir agi comme une enfant. Une de ses mains lui caressa la nuque, alors que son autre main parcouru le torse du vampire.

Avouer ses sentiments ne lui était pas facile, même si elle ne pouvait plus ainsi tourner autour du pot et s’attendre à ce qu’il l’accepte et la laisse faire. Non, il était temps d’assumer ses dits sentiments et d’agir en y tenant compte. Elle comprenait ses dires. Elle ne pourrait réellement survivre sans lui. Il était son oxygène, sa raison à elle d’être là et non ailleurs. Sa raison à elle de ne pas étouffer ou se noyer dans un torrent de lassitude. Ses bras toujours autour de son cou, son regard violet devint lui aussi rouge sang. Ils ne pouvaient changer ce qu’ils étaient réellement, des vampires. Et seul le sang de son bien aimé pouvait assouvir la réelle soif d’une créature de la nuit. Elle voulait son sang autant que lui le sien. Elle voulait qu’il sache qu’elle l’aimait réellement. Qu’elle s’amusait au jeu de la provocation sans jamais réellement chercher à faire quoique ce soit de plus avec les autres, car il était le seul qui comptait.

Elle voulait qu’il sache qu’elle avait eu des sentiments pour Ren, bien qu’elle-même ne puisse dire si cela avait réellement été de l’amour ou autre chose. Mais qu’il sache que jamais de tels sentiments n’avaient changé le fait qu’elle l’aimait plus que tout. Elle voulait qu’il sache qu’elle faisait surveiller les tombeaux de sa famille, qu’elle souhaitait détruire l’être ayant tué son père même si ce dernier l’avait à la limité renié quand elle lui fit comprendre que sa nouvelle cause serait la paix avec les humains.

« Je suis tienne. Depuis le début et jusqu’à la fin des temps. Et jamais, jamais je ne te trahirais. »

Venant l’embrasser, elle se laissa retomber sur le lit, l’entrainant avec elle. Maintenant, ils étaient réellement un couple. Maintenant, elle était à lui autant qu’il était à elle.

Elle avait réellement compris ce que je pouvais ressentir et cela me fis frémir. Je sentais alors ses mains contre moi et j'étais heureux qu'elle se comporte ainsi enfin... c'était ce que j'attendais depuis réellement longtemps. Je la regardais alors tendrement avant de lui dire doucement:

" Je suis à toi à jamais. Pour le mariage nous allons attendre que tu veuille réellement le faire. J'aimerai profiter un peu du fait que nous soyons ainsi avant d'officialiser tout cela."

Je la laissais alors m'embrasser avant de tomber sur le lit à la renverse avec celle ci. Je la regardais alors tendrement et lui caressais alors le dos doucement. J'étais aux anges et comblé qu'elle m'ait enfin répondu. Je lui avais fait mettre sa robe préféré mais aussi la mienne. c'était moi qui lui avait acheté lors de notre première rencontre. Je me souvenais de tout cela mais j'étais heureux d'avoir vécu tant de choses avec elle. Je la sentais alors contre moi. J'étais heureux de cela. Je sentais à quel point elle pouvais m'aimer, mais aussi qu'elle était réellement sincère. Je stoppais alors l'embrassade pour venir lui retirer sa robe doucement. Je la faisais alors tomber. Je voulais juste sentir sa peau contre la mienne sans pour autant aller plus loin. Juste cette envie d'avoir la chair contre la chair. Je lui chuchotais alors:

"Tu veux aller sous la couverture, cela évitera que nous soyons malade... De plus nous pourrons alors parler tranquillement et voir ensuite..."

Je souriais alors totalement amusé de la voir enfin ainsi et charmé de la découvrir comme cela. Je passais alors ma main doucement sur son visage lui remettant en place des mèches de cheveux.